Le vent n'avait rien d'une rafale, il passait doucement sur la peau pour aller se poser plus loin, sur une branche. Il était encore temps de rester sous les arbres et d’observer l'ombre qui allait et venait dans la fin de l'été.
Plus tard sur la plage, c'était si bon de craindre, par jeu, l'eau froide avant de s'y sentir bien, de regarder les filles qui regardaient la mer, sans doute comme un miroir.
Rien à faire, tourner les pages, tourner les idées dans sa tête, ne rien décider
Tout, par moment, me ramenait à toi.